samedi 19 juin 2010

Les représentations toujours

Même expérience avec la classe Ulis de M. Soulis, toujours au collège du Montois !

C'est une peinture. C'est un garçon, il est habillé en noir, ses yeux sont bleus.
Il a l'air méchant, il veut se bagarrer. Ses oreilles sont grosses. Il a un t-shirt noir et blanc.

C'est une peinture avec une dame et un garçon qui se tiennent
Ils sont tristes, peut être qu'ils dansent
Il y a du bleu, du jaune, du vert, du orange et du rose.

C'est une sculpture, une danseuse. Elle est noire, beige et marron claire. 
On dirait qu'elle regarde quelque chose.
Elle a des chaussures noires.

Auguste, le fils de César. C'est une statue. Cette année je fais du grec, 
des fois on parle des romains. 
Il a un bâton : « Oh toi, oh civil »
Il est sérieux, il parle à ses romains.

Ils sont tristes. Il lui fait un câlin.

On dirait des catcheurs. C'est des vrais personnes. 
Il y en a un qui ne comprend pas et l'autre qui s'énerve.  

C'est des humains. Ils sont face à face, sérieux. C'est noir et blanc l'image, 
ils posent bien.

Il y a des feuilles blanches, des cahiers, un manteau noir, 
des chaussures noires, des pantalons gris. Il y a du vent.

Ça me plaît parce que c'est lui le général, on dirait. 
Son adversaire il faut qu'il meure. Le ciel est bleu, gris, jaune, 
ça fait la terreur, l'enfer.




vendredi 18 juin 2010

Représentations

Le 6 juin, au collège du Montois, nous avons proposé un jeu à une classe de 4ème de Mme Chantal Font : essayer de reproduire les postures de personnages peints, sculpté ou photographiés en voyageant dans l'histoire de l'Art.

Je devait lever mon bras droit vers l'avant, mais mon bras ne devait pas être trop tendu. 
Je devais être droit.
La photo représentait deux guerriers, je suppose qui se battaient. Elle ne m'a pas particulièrement plu. 
Elle m'a évoqué une scène de guerre. Je devais m'agenouiller, tenir un bouclier de la main gauche et une lance 
(tourné face à mon coéquipier), de la main droite.


Un soldat espagnol se fait tirer dans la cervelle. La position est très physique : 
il faut se pencher très bas et que l'on ne voit pas mon bras gauche.

Je devais me pencher pour voir la blessure de Jesus.

J'étais un serpent qui se faisait étrangler par un guerrier.

Une statue nue qui allait frapper un serpent avec une pierre qu'il tenait dans sa main droite.




La sculpture est une danseuse en bronze.

C'est un personnage qui se cache derrière son blouson, 
comme si il était malheureux et suspecté d'un truc. Il est sur une chaise.

C'est un chevalier en armure avec un chapeau rouge.

Un homme vêtu de rouge tenait trois épées dans sa main gauche. 
Face à cet homme, trois autres tendaient les mains pour les attraper. Derrière l'homme, 
il y avait des femmes malheureuses.


J'étais une femme avec une pomme dans la main gauche et la main droite posée sur une autre femme.

Trois personnages, nus. On tenait des fruits dans nos mains, les hanches très déhanchées.

C'est une femme blonde avec un regard manipulateur, ses yeux sont bleus 
et ses bras croisés. Elle possède un petit sourire au coin de la lèvre plutôt sournois.



J'ai fait une personne morte avec une lettre dans la main gauche 
et une plume dans la main droite. J'étais mort dans une baignoire.



Je m’enlaçais, la bouche entrouverte.

C'est une femme triste à l'air pensif. 
Elle a deux enfants sur se côtés et tient un bébé dans les bras.

Je tenais une bougie de la main gauche et je cachais la lumière avec la droite.

Je porte un bébé dans les bras

jeudi 10 juin 2010

Les monuments aux vivants de Savins

Pendant le we du festival Land Art des "artistes en campagne", certains visiteurs se sont prêtés à un petit jeu photographique : devenir monument.